Nous devons cependant quitter l'hôtel assez tot et pendant notre petit déjeuner sur pontons nous découvrons a quel point la nature peut créer des choses vraiment degueu, comme ces poissons mutant-hybride-du-démon-de-l'enfer-chinois-de-la-marée-basse qui se déplace sur la boue avec leurs énormes nageoires mutantes en mangeant des petits crabes innofensif et tout mignon.
Un moment difficile.
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| Degueux de l'enfer |
S'en suivi un autre moment pas évident, celui de l'Internet café. Nous avons œuvrées pendant 6 tres longues heures a tenter de copier nos photos sur ce qui semblait pourtant etre a premiere vue un ordinateur. Pas plus de commentaire.
Nous essayons de rattraper notre journee approximative en nous baladant dans Georgetown en fin d'après-midi. Et nous découvrons tout de même de jolies paysages le soir venu en tout en découvrant la cuisine locale qui fait la fierté de Penang. (Cf. Un article "POINT BOUFFE" ne devrait pas tarder...). Emma a meme trouver la force d'aller courir, au grand damne de son visage qui resta rouge pendant plus de deux heures.
Le lendemain, nous sommes déterminés a enfin aller nous baigner dans la mer. Nous rejoignons donc un petit village de pêcheur au nord de l'île de Penang, duquel nous prenons un petit baveu afin de rejoindre la paradisiaque Monkey Beach !
Nous passons notre première après-midi a nous relaxer vraiment depuis notre depart, et nous en profitons meme pour nous offrir une petite virée en jetski ! (Les photos et vidéos sont sur la gopro, on va essayer de vous montrer tout ça !)
Et malgré l'attaque impromptue d'une méduse sur le bras de Caroline qui venait tout juste de se remettre de sa brûlure, nous passons une très belle journee sans trop de coup de soleil !
C'était sans compter sur le retour jusqu'au village que nous avons décidé de faire a pied à travers la jungle. Aucune mise en garde, nous suivons sereinement une jeune fille en tong en nous attendant à tomber sur un sentier aménagé. QUE NENNI. Nous voila à nouveau entrain de grimper entre des enormes troncs et des rivières, à escalader grâce aux racines et a glisser sur les rochers, tout ca sous l'œil moqueur des singes qui nous entouraient et des enormes varans qui nous surprenaient au détour des arbres.
La fille en tâtane nous a distancées dès les premiers mètres, nous pauvres française Aves nos supers chaussures de randos. Honte internationale, Tongs Malaisiennes : 1 - Chaussures à 100€ : 0
Nous pensions pouvoir enfin nous reposer dans le bus mais c'était oublier un problème de taille, la CLIMATISATION (tatataaaaa). La notion de choc thermique ne semble ici gêner personne a part nous, trempées de sueur dans un bus a 15 degrés pendant 45 longues minutes...
Nous arrivons à l'hôtel achevées par cette journee qui devait être relaxante.
La dernière journée a Penang nous offre la possibilité de découvrir une autre fierté de la ville : le street art. Des artistes ont pu plaqué des petites fresques un peu partout entre les temples et nous faisons un dernier grand tour avant notre depart du lendemain matin.
Emma se découvre une passion pour les mini temples chinois que chaque habitant du chinatown se doit d'avoir chez lui et tente de faire un inventaire qui s'avère tres long. De la même façon on remarque une passion inhabituelle ici : passer le balais. On vous en dira plus bientot...
